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Ce document est mis à jour périodiquement. Chaque nouvelle édition inclut les mises à jour. Les informations qui y sont fournies sont susceptibles d'être modifiées avant que les produits décrits ne deviennent eux-mêmes disponibles. En outre, il peut contenir des informations ou des références concernant certains produits, logiciels ou services non annoncés dans ce pays. Cela ne signifie cependant pas qu'ils y seront annoncés.
Pour plus de détails, pour toute demande d'ordre technique, ou pour obtenir des exemplaires de documents IBM, référez-vous aux documents d'annonce disponibles dans votre pays, ou adressez-vous à votre partenaire commercial.
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Ce guide d'utilisation fournit des informations générales sur IBM 32-bit SDK et Runtime Environment pour Windows, Java Technology Edition, Version 6 et d'autres informations spécifiques sur les différences entre les implémentations IBM et Sun.
Consultez-le en complément de la documentation plus détaillée disponible sur le site Web de Sun à l'adresse http://java.sun.com.
SDK et Runtime Environment sont pris en charge sur les produits suivants :
Ces environnements virtuels sont pris en charge :
Notez qu'IPv6 est pris en charge uniquement sous Windows XP et Windows Server 2003.
Le document Diagnostics Guide fournit des informations détaillées sur IBM Virtual Machine for Java.
Ce guide d'utilisation fait partie intégrante d'une édition et s'applique uniquement à cette édition spécifique. Assurez-vous d'être en possession du guide d'utilisation approprié pour l'édition utilisée.
Les termes "Runtime Environment" et "Java Virtual Machine" sont utilisés indifféremment dans ce guide d'utilisation.
|Les modifications techniques apportées à cette version du guide d'utilisation, autres que les modifications mineures ou importantes, sont indiquées par des chevrons bleus lors de l'affichage dans un centre de documentation, en rouge avec des barres verticales placées à leurs gauches lors de l'affichage au format HTML ou sur une impression en couleurs ou par des barres verticales placées à leur gauche lors de l'affichage au format PDF.
Le code de programme n'est pas conçu pour ou destiné à une utilisation dans des applications en temps réel telles que (mais de façon non limitative) le contrôle en ligne des avions, du trafic aérien, de la navigation aérienne ou des communications aériennes ; ou la conception, construction, l'opération ou l'entretien de toute installation nucléaire.
Le SDK IBM est un environnement de développement permettant d'écrire et d'exécuter des applets et des applications conformes à Java 6 Core Application Program Interface (API).
Le SDK inclut Runtime Environment for Windows, qui permet d'exécuter uniquement des applications Java. Si vous avez installé SDK, IBM Runtime Environment est inclus.
L'environnement d'exécution contient la machine virtuelle Java ainsi que les fichiers de prise en charge incluant les fichiers de classe. L'environnement d'exécution contient seulement un sous-ensemble des classes se trouvant dans le SDK. Il permet de prendre en charge un programme Java lors de l'exécution mais ne permet pas de compiler les programmes Java. Le Runtime Environment for Windows n'inclut aucun des outils de développement, tels que appletviewer.exe ou le compilateur Java (javac.exe), ni les classes destinées aux systèmes de développement uniquement.
En outre, le module de l'API Java Communications est fourni pour une utilisation avec Runtime Environment for Windows. Vous pouvez trouver des informations à ce sujet dans Utilisation de l'API Java Communications (JavaComm).
En général, les applets ou les applications ayant déjà été exécutées avec une version antérieure du SDK doivent fonctionner correctement avec IBM 32-bit SDK pour Windows, v6. Il n'est pas garanti que les classes compilées avec cette version fonctionnent sur les versions antérieures.
IBM 32-bit SDK pour Windows, v6, est créé avec Microsoft Visual Studio .NET 2003.
Pour plus d'informations sur les problèmes de compatibilité entre les différentes éditions, reportez-vous aux pages Web Sun suivantes :
|http://java.sun.com/javase/6/webnotes/compatibility.html
http://java.sun.com/j2se/5.0/compatibility.html
http://java.sun.com/j2se/1.4/compatibility.html
http://java.sun.com/j2se/1.3/compatibility.html
Si vous utilisez le SDK comme faisant partie d'un autre produit (par exemple, IBM WebSphere Application Server) et que vous effectuez une mise à niveau depuis une version antérieure du SDK, par exemple v5.0, il se peut que les classes sérialisées ne soient pas compatibles. Ces dernières sont toutefois compatibles entre les diverses actualisations de service.
A partir de la version 5.0, IBM Runtime Environment for Windows contient les nouvelles versions d'IBM Virtual Machine for Java et du compilateur JIT (Just-In-Time).
Si vous effectuez une migration à partir d'une version d'IBM Runtime Environment plus ancienne, notez que :
Le SDK contient plusieurs outils de développement ainsi qu'un Java Runtime Environment (JRE). Cette section décrit le contenu des outils du SDK et de l'environnement d'exécution.
Les applications entièrement écrites en Java ne doivent pas être dépendantes de l'arborescence des répertoires du SDK d'IBM (ou des fichiers contenus dans ces répertoires). Toute dépendance de cette arborescence (ou de ces fichiers) peut compromettre la portabilité de l'application. Les applications JNI (Java Native Interface) ont des dépendances mineures.
Les guides d'utilisation, la documentation utilisateur ainsi que la licence, les fichiers de droit d'auteur, la documentation utilisateur et le répertoire demo qui les accompagnent constituent la seule documentation comprise dans ce SDK pour Windows. Vous pouvez consulter ou télécharger la documentation des logiciels Sun sur le site Web de Sun à l'adresse : http://java.sun.com.
Liste des classes et des outils que vous pouvez utiliser avec l'environnement d'exécution standard.
Une liste des outils et des informations de référence inclus dans le SDK standard.
Le fichier de licence, C:\Program Files\IBM\Java60\docs\content\<locale>\LA_<locale>, contient le contrat de licence SDK du logiciel Windows (où <locale> correspond au nom de votre environnement, par exemple Fr_FR). Pour afficher ou imprimer le contrat de licence, ouvrez ce fichier dans un navigateur Web.
Installez le SDK à l'aide de l'assistant d'installation ou du fichier compressé. Configurez le SDK à l'aide de variables d'environnement, d'options de ligne de commande et de fichiers de propriétés.
Pour installer le SDK ou Runtime Environment, téléchargez le package d'installation correspondant. Veillez bien à télécharger tous les packages dans le même répertoire et assurez-vous qu'il y a suffisamment d'espace dans le répertoire temporaire.
Les packages et les noms de fichiers sont répertoriés dans Installation des packages ; ne les modifiez pas.
Avant d'entamer l'installation, assurez-vous que l'espace est suffisant dans le répertoire C:\WINDOWS\TEMP. La quantité d'espace temporaire dans le répertoire TEMP doit être comme suit :
Si vous n'avez pas assez d'espace temporaire, le programme d'installation émet une erreur et interrompt l'installation. Si l'espace temporaire est suffisant mais qu'un message d'erreur est émis, vérifiez que les packages ont été totalement téléchargés. Pour ce faire, comparez les tailles des fichiers de vos packages à celles affichées dans les pages Web d'où vous les avez téléchargés.
De nombreux packages peuvent être installés indépendamment, notamment le SDK, Runtime Environment, Javacomm, la documentation et les démos.
Les packages pouvant être installés sont les suivants :
Les autres packages sont fournis en tant que fichiers compressés :
Si vous installez le SDK ou Runtime Environment à partir du package compressé, vous ne pourrez pas utiliser Web Start ou le plug-in Java. L'onglet Update du panneau de configuration ne pourra également pas être utilisé.
Une installation sous surveillance du SDK et du JRE peut être effectuée sur un seul client.
Runtime Environment est installé par défaut dans le répertoire C:\Program Files\IBM\Java60\jre.
Si vous avez téléchargé le package d'installation de SDK, vous pouvez choisir les composants à installer :
Dans l'assistant d'installation, vous disposez des options suivantes :
Sous Windows Vista, il se peut qu'il y ait un temps d'attente après avoir sélectionné le langage d'installation.
Si l'installation échoue et que le message d'erreur «Error applying transform» s'affiche, il se peut que les informations de configuration de Windows Installer soient corrompues.
Lorsque vous installez Runtime Environment (comme élément du package d'installation de SDK ou à partir d'un package d'installation propre), vous devez préciser s'il doit être installé comme machine virtuelle Java système. Si tel est le cas, le programme d'installation copie les fichiers java.exe, javacpl.cpl, javaws.exe et javaw.exe dans le répertoire système Windows.
Si une version de java.exe ou javaw.exe existe déjà dans le répertoire système Windows, vous devez l'écraser avec celle en cours. L'installation de ces fichiers dans le répertoire système Windows fait de Runtime Environment la machine virtuelle Java par défaut pour le système. Par ailleurs, la clé de registre «Version» est définie de façon à correspondre à cette installation.
Une installation automatisée du SDK ou du JRE peut être effectuée sur plusieurs clients.
Pour une installation automatisée, vous devez d'abord effectuer une installation sous surveillance et créer un fichier de réponses (setup.iss) enregistrant les choix réalisés. Ce fichier de réponses doit être adapté aux ordinateurs sur lesquels vous pensez l'utiliser. Si besoin est, créez plusieurs fichiers de réponses pour installer les packages sur des ordinateurs de configuration distincte.
Pour créer un fichier de réponses lors du processus d'installation, entrez la commande suivante :
ibm-java-sdk-60-win-i386 /r
ou
ibm-java-jre-60-win-i386 /r
En fonction du produit Windows, un fichier de réponses (setup.iss) est créé dans le répertoire C:\Windows ou C:\Winnt.
Le message suivant peut apparaître lors d'une installation interactive :
Another Java Runtime Environment is currently installed as the System JVM. Select Yes to overwrite this version or No to exit this installation.
Si ce message s'affiche, cliquez sur No et quittez l'installation. Accédez au répertoire système Windows et supprimez les deux fichiers suivants :
Après cela, relancez l'installation interactive à l'aide de la commande indiquée en début de section.
Sur le système où vous effectuerez l'installation automatisée, copiez le fichier de réponses setup.iss dans le répertoire C:\Windows. Après la copie, entrez à une invite de commande :
ibm-java-sdk-60-win-i386 /s /f1c:\Windows\setup.iss /f2c:\setup.log ibm-java-jre-60-win-i386 /s /f1c:\Windows\setup.iss /f2c:\setup.log
Si l'installation aboutit, le fichier journal contient la chaîne ResultCode=0. Si tel n'est pas le cas, le fichier journal contient un code de résultat différent.
IBM Accessibility Bridge est installé, mais désactivé par défaut. Pour activerIBM Accessibility Bridge, supprimez la mise en commentaire de l'entrée assistive_technologies du fichier Accessibility.properties.
Le fichier Accessibility.properties se trouvent dans le répertoire jre/lib. Supprimez le symbole # qui se trouve au début de la ligne :
#assistive_technologies=JawBridge
Ce site Web offre plus d'informations sur les utilitaires d'accessibilité :
http://java.sun.com/products/jfc/accessibility.html
Vous pouvez désactiver la prise en charge de Java Accessibility pour améliorer les performances de chargement par la machine virtuelle d'applications Java ne prenant pas en charge la technologie d'assistance Java, notamment sur des liaisons réseau. Pour désactiver la prise en charge de Java Accessibility, définissez la variable d'environnement JAVA_ASSISTIVE à OFF.
Une technologie d'assistance telle que JawBridge n'est pas disponible si cette variable d'environnement a la valeur OFF, même si la technologie est activée dans le fichier Accessibility.properties.
Dans Windows, un processus possède deux pages de codes : ANSI (ou Windows) et OEM (ou DOS). La commande javaw utilise toujours la page de codes ANSI, sauf si la propriété système console.encoding est définie.
La fenêtre de commande emploie normalement la page de codes OEM. La sortie de la console Java utilise la même page de codes que la fenêtre de commande depuis laquelle Java a été démarré. Cependant, la commande javaw utilise toujours la page de codes ANSI. Pour indiquer la page de codes à utiliser dans la sortie de la console, entrez l'option -Dconsole.encoding avec la commande java ou le programme de lancement javaw. Par exemple, avec -Dconsole.encoding=Cp1252, la sortie de la console se trouve dans la page de codes Windows ANSI Latin1 (1252).
Si vous modifiez la variable d'environnement PATH, tous les programmes de lancement Java du chemin seront remplacés.
La variable d'environnement PATH permet à Windows de localiser les programmes et utilitaires tels que javac, java et javadoc, à partir du répertoire de travail. Pour afficher la valeur actuelle de PATH, entrez ce qui suit à l'invite de commande :
echo %PATH%
Pour ajouter les programmes de lancement Java au chemin d'accès, procédez comme suit :
Une fois le chemin défini, vous pouvez exécuter un outil en entrant son nom à l'invite de commande à partir de n'importe quel répertoire. Par exemple, pour compiler le fichier Myfile.Java, entrez ce qui suit à l'invite de commande :
javac Myfile.Java
Le chemin d'accès aux classes indique aux outils SDK, tels que java, javac et javadoc, l'emplacement des bibliothèques de classes Java.
Vous devez définir le chemin d'accès aux classes de manière explicite uniquement dans les cas suivants :
Pour afficher la valeur actuelle de la variable d'environnement CLASSPATH, entrez la commande suivante à l'invite de commande :
echo %CLASSPATH%
Si vous développez et exécutez des applications qui utilisent différents environnements d'exécution, y compris d'autres versions que vous avez installées séparément, vous devez définir CLASSPATH et PATH explicitement pour chaque application. Si vous exécutez plusieurs applications simultanément et utilisez des environnements d'exécution différents, chaque application doit être exécutée dans l'invite de commande qui lui est propre.
Utilisez l'application Ajout/Suppression de programmes de Windows pour désinstaller le SDK ou Runtime Environment.
Pour désinstaller le SDK, qu'il ait été installé automatiquement ou manuellement :
Cette procédure supprime tous les modules installés avec le programme d'installation. Elle ne supprime pas le module de l'API Java Communications (voir Désinstallation de l'API Java Communications), ni les fichiers supplémentaires ayant été extraits de modules zip.
Si vous ne disposez pas des droits requis pour désinstaller le SDK ou Runtime Environment, le nom de fichier court «Error1325.launchpad n'est pas valide». Pour désinstaller le SDK ou Runtime Environment, restaurez les droits appropriés.
Lorsque vous gérez plusieurs installations entre IBM 32-bit SDK pour Windows, v6 et les versions 1.3.1 ou antérieures, si vous désinstallez la version antérieure alors qu'une version v6 est encore installée sur le système, le programme de désinstallation de la version 1.3.1 supprime les clés et sous-clés de registre ci-dessous requises par la version v6, ce qui endommage l'installation de v6 :
Par conséquent, vous devez réinstaller v6 après avoir désinstallé la version 1.3.1. Cette limitation du programme de désinstallation a été corrigée pour la version 1.4.0 et les versions ultérieures.
Les applications Java peuvent être démarrées à l'aide du programme de lancement java ou via l'interface JNI. Les paramètres sont transmis à une application Java à l'aide des arguments de ligne de commande, des variables d'environnement et des fichiers de propriétés.
Brève description des commandes java et javaw.
Les outils java et javaw lancent une application Java en démarrant Java Runtime Environment et en chargeant une classe déterminée.
La commande javaw est identique à java, sauf qu'elle n'est associée à aucune fenêtre de console. Utilisez la commande javaw lorsque vous ne souhaitez pas qu'une fenêtre d'invite de commande s'affiche. Si le lancement échoue, le programme de lancement de javaw affiche une boîte de dialogue contenant un message d'erreur.
La machine virtuelle recherche la classe initiale (ainsi que les autres classes utilisées) à trois emplacements : le chemin d'accès à la classe d'amorce, les extensions installées et le chemin d'accès à la classe utilisateur. Les arguments ajoutés après le nom de classe ou le nom de fichier jar sont transmis à la fonction main.
Les commandes java et javaw ont la syntaxe suivante :
java [ options ] <classe> [ arguments ... ] java [ options ] -jar <fichier.jar> [ arguments ... ] javaw [ options ] <classe> [ arguments ... ] javaw [ options ] -jar <fichier.jar> [ arguments ... ]
Vous pouvez obtenir le numéro de compilation et de version IBM de votre installation Java à l'aide de l'option -version. |Vous pouvez également obtenir les informations de version de tous les fichiers jar figurant dans le chemin d'accès aux classes à l'aide de l'option -Xjarversion.
java -versionLes informations suivantes s'affichent :
java version "1.6.0-internal" Java(TM) SE Runtime Environment (build 20070227_01) IBM J9 VM (build 2.4, J2RE 1.6.0 IBM J9 2.4 Windows XP x86-32 jvmwi3260-20070226_11758 (JIT enabled) J9VM - 20070226_11758_lHdSMR JIT - dev_20070215_1800 GC - 20070208_AA)Les dates de création ainsi que les versions exactes seront modifiées.
|
| Vous pouvez également afficher les informations de version relatives à tous les fichiers jar figurant dans le chemin d'accès, le chemin d'accès de l'initialisation et le répertoire d'extensions en entrant la commande suivante :
java -Xjarversion|
Les informations suivantes s'affichent :
|... |C:\Program Files\IBM\Java60\jre\lib\ext\ibmpkcs11impl.jar VERSION: 1.0 build_20070125 |C:\Program Files\IBM\Java60\jre\lib\ext\dtfjview.jar |C:\Program Files\IBM\Java60\jre\lib\ext\xmlencfw.jar VERSION: 1.00, 20061011 LEVEL: -20061011 | |...|
Les informations disponibles varient selon les fichiers jar et sont obtenues à partir des propriétés Implementation-Version et Build-Level du manifeste du fichier jar.
Vous pouvez indiquer les options Java et les propriétés système sur la ligne de commande à l'aide d'un fichier d'options ou d'une variable d'environnement.
Ces méthodes d'indication des options Java sont répertoriées par ordre de priorité :
java -Dmysysprop1=tcpip -Dmysysprop2=wait -Xdisablejavadump MyJavaClass
set IBM_JAVA_OPTIONS="-Dmysysprop1=tcpip -Dmysysprop2=wait -Xdisablejavadump"
Les options les plus à droite sur la ligne de commande ont priorité sur celles de gauche ; par exemple, si vous indiquez :
java -Xint -Xjit myClass
l'option -Xjit est prioritaire.
Définitions des options standard.
Les programmes de lancement java et javaw acceptent les arguments et les noms de classes avec n'importe quel caractère contenu dans le jeu de caractères de l'environnement local courant. Vous pouvez également utiliser des séquences d'échappement Java pour spécifier n'importe quel caractère Unicode dans le nom de classe et les arguments.
Pour ce faire, utilisez l'option de ligne de commande -Xargencoding.
Par exemple, pour indiquer une classe nommée HelloWorld en codage Unicode pour les deux majuscules, utilisez cette commande :
java -Xargencoding '\u0048ello\u0057orld'
Les commandes java et javaw fournissent des messages traduits. Ces messages diffèrent suivant l'environnement local dans lequel Java est exécuté. Les descriptions détaillées des erreurs et les autres informations de débogage renvoyées par la commande java sont en anglais.
Pour configurer l'exécution automatique d'une classe Java ou d'un fichier JAR à partir de l'explorateur Windows, utilisez l'option Outils -> Options des dossiers -> Type de fichier de l'Explorateur Windows.
Sinon, entrez à une invite de commande :
assoc .class=javaclass ftype javaclass=C:\Program Files\IBM\Java60\jre\bin\java.exe''%l''%*'
Sun fournit le composantJava Access Bridge pour permettre aux technologies d'assistance Windows natives (par exemple, des lecteurs d'écran) d'accéder au support Java Accessibility dans une application Java. Ces programmes d'assistance Windows natifs doivent avoir été écrits pour effectuer des appels à Java Access Bridge.
Le composant Java Access Bridge disponible auprès de Sun comprend un programme d'installation qui place cinq fichiers dans les répertoires appropriés : access-bridge.jar, jaccess.jar, accessibility.properties, JavaAccessBridge.dll et WindowsAccessBridge.dll. IBM fournit une copie du fichier jaccess.jar dans le répertoire approprié, en vue d'une utilisation avec JawBridge.
Si vous avez déjà activé IBM Accessibility Bridge (JawBridge), qui permet àWindows 2000 Magnifier de fonctionner avec les applications Swing, et que vous souhaitez activer JawBridge en même temps que Java Access Bridge, modifiez la ligne dans le fichier accessibility.properties, pour obtenir :
assistive_technologies=com.sun.java.accessibility.AccessBridge,JawBridge
Mettez la ligne en commentaire en la faisant précéder du caractère dièse # pour désactiver les deux composants. Consultez ce site Web pour connaître les modalités de téléchargement du composant Java Access Bridge :
http://java.sun.com/products/jfc/accessibility.html.
Le compilateur IBM JIT (Just-In-Time) génère dynamiquement le code machine pour les séquences de code intermédiaire fréquemment utilisées dans les applications Java et les applets en phase d'exécution. Le compilateur JIT v6 propose de nouvelles optimisations suite à la recherche du compilateur, améliore les optimisations implémentées dans les versions précédentes du compilateur JIT et fournit une meilleure exploitation matérielle.
IBM SDK et Runtime Environment incluent le JIT, qui est activé par défaut dans les applications utilisateur ainsi que les outils SDK. Il n'est généralement pas nécessaire d'appeler explicitement le compilateur JIT. La compilation du code intermédiaire Java en code machine se produit de manière transparente. Vous pouvez désactiver le JIT pour isoler un incident. Si un incident survient lors de l'exécution d'une application Java ou d'une applet, vous pouvez désactiver le JIT afin d'isoler l'incident. La désactivation du compilateur JIT est uniquement une mesure temporaire, sa présence étant requise pour optimiser les performances.
Pour plus d'informations sur le JIT, voir document Diagnostics Guide.
Le JIT peut être désactivé de différentes manières. Les options de ligne de commande remplacent la variable d'environnement JAVA_COMPILER.
La désactivation du compilateur JIT est une mesure temporaire permettant d'isoler des incidents lors du débogage des applications Java.
set JAVA_COMPILER=NONEVous pouvez également définir de manière permanente JAVA_COMPILER en utilisant l'interface utilisateur graphique. Ouvrez le Panneau de configuration, sélectionnez Système et dans l'onglet Avancé, sélectionnez Variables d'environnement.
java -Djava.compiler=NONE <classe>
java -Xint < class>
Le JIT est activé par défaut. Vous pouvez activer explicitement le JIT de plusieurs façons. Les options de ligne de commande remplacent la variable d'environnement JAVA_COMPILER.
set JAVA_COMPILER=jitcVous pouvez également définir de manière permanente JAVA_COMPILER en utilisant l'interface utilisateur graphique. Ouvrez le Panneau de configuration, sélectionnez Système et dans l'onglet Avancé, sélectionnez Variables d'environnement. Si la valeur chaîne vide est attribuée à la variable d'environnement JAVA_COMPILER, le JIT reste désactivé. Pour désactiver la variable d'environnement, à l'invite de commande, entrez :
set JAVA_COMPILER=
java -Djava.compiler=jitc <classe>
java -Xjit <classe>
Vous pouvez déterminer l'état du JIT à l'aide de l'option -version.
Exécutez le programme de lancement java à l'aide de l'option -version. A l'invite de commande, entrez :
java -version
Si le compilateur JIT est inactif, le message qui s'affiche contient ce qui suit :
(JIT disabled)
Si le compilateur JIT est actif, le message qui s'affiche contient ce qui suit :
(JIT enabled)
Pour plus d'informations sur le JIT, voir le document Diagnostics Guide.
Le récupérateur de place gère la mémoire utilisée par Java et par les applications exécutées dans la machine virtuelle.
Lorsque le récupérateur de place reçoit une demande de stockage, la mémoire inutilisée dans le segment de mémoire est mise de côté (on parle alors d'"allocation"). Le récupérateur de place vérifie également les zones de mémoire qui ne sont plus utilisées et les libère pour qu'elles puissent être réutilisées. Il s'agit de la "récupération".
La phase de récupération peut être déclenchée par un défaut d'allocation de mémoire, ce qui peut se produire lorsqu'il ne reste plus d'espace pour une demande de stockage ou par un appel System.gc() explicite.
La récupération de place peut avoir un impact considérable sur les performances des applications. Pour cette raison, la machine virtuelle IBM fournit différentes méthodes d'optimisation de la façon dont cette récupération est effectuée afin de limiter potentiellement l'incidence sur votre application.
Pour plus d'informations sur la récupération de place, reportez-vous au document Diagnostics Guide.
L'option -Xgcpolicy contrôle le comportement du récupérateur de place. Elle établit des compromis entre le débit de l'application et l'ensemble du système et les délais d'interruption nécessités par la récupération de place.
Le format et les valeurs de cette option sont les suivants :
Lorsque l'espace disponible dans le segment ne permet pas à une application de créer un objet, la fonction de récupération de place identifie les objets non référencés et les supprime, ce qui rétablit l'état du segment et permet de répondre rapidement aux demandes d'affectation de ressources actuelles et ultérieures.
Des cycles de récupération de place de ce type génèrent parfois des interruptions inattendues dans l'exécution du code d'application. A mesure que la taille et la complexité des applications augmentent, la taille des segments s'accroît et les interruptions causées par le processus de récupération de place deviennent plus longues et plus gênantes.
La valeur de récupération de place par défaut, -Xgcpolicy:optthruput, offre un débit très élevé aux applications, au prix d'interruptions fréquentes, d'une durée comprise entre quelques millisecondes et plusieurs secondes, selon la taille du segment et la quantité de place à récupérer.
La machine virtuelle JVM utilise deux techniques pour réduire les délais d'interruption : la récupération de place simultanée et la récupération de place de génération.
L'option de ligne de commande -Xgcpolicy:optavgpause spécifie l'utilisation d'une récupération de place simultanée pour réduire de façon significative le temps passé à la récupération de place. La récupération de place simultanée réduit les délais d'interruption en effectuant des opérations de récupération simultanément avec l'exécution normale du programme afin de minimiser les perturbations provoquées par la collecte du segment de mémoire. L'option -Xgcpolicy:optavgpause réduit également l'impact de l'augmentation de la taille du segment sur la durée des interruptions pour récupération de place. L'option -Xgcpolicy:optavgpause est particulièrement utile pour les configurations présentant de grandes tailles de segment. Ainsi, vous noterez une certaine baisse du débit de vos applications.
Lors de la récupération de place simultanée, un laps de temps considérable est perdu à identifier les objets de longue durée qui ne peuvent alors pas être collectés. Si la récupération de place ne se concentre que sur les objets susceptibles d'être recyclables, vous pouvez réduire encore davantage les délais d'interruption de certaines applications. La récupération de place de génération parvient à cela en divisant le segment en deux "générations" : les zones "nursery" (nouvelle génération) et "tenure" (génération titulaire). Les objets sont placés dans l'une ou l'autre de ces zones suivant leur ancienneté. La zone "nursery" est la plus petite des deux et contient les objets les plus récents alors que la zone "tenure" est plus importante et contient les objets plus anciens. Les objets sont d'abord affectés à la zone "nursery" ; s'ils survivent assez longtemps, ils finissent par passer dans la zone "tenure".
La récupération de place de génération dépend d'une courte durée de la plupart des objets. Cette technique réduit les délais d'interruption en s'efforçant de récupérer en priorité de l'espace disque dans la zone "nursery" car c'est dans cette dernière que l'espace est le plus facilement recyclable. Alors que la récupération intégrale du segment est plus occasionnelle mais plus lente, la récupération des éléments de la zone "nursery" est plus fréquente et, si la taille de cette zone est assez petite, les délais d'interruption sont comparativement plus courts. Il existe toutefois un inconvénient à cette technique qui est, qu'avec le temps, la zone "tenure" peut être saturée si trop d'objets durent trop longtemps. Pour minimiser le délai d'interruption lorsque ce cas survient, ayez recours à une combinaison des deux techniques. L'option -Xgcpolicy:gencon spécifie l'utilisation combinée de la récupération de place simultanée et de la récupération de place de génération pour limiter au minimum les temps d'interruption pour récupération de place.
Si le segment Java est proche de la saturation et que la place à récupérer est très limitée, les demandes de nouveaux objets ne sont pas satisfaites rapidement car aucun espace n'est disponible immédiatement.
Si le segment est utilisé au maximum de sa capacité ou presque, une baisse de performance se produit au niveau des applications, indépendamment des options de récupération de place utilisées. Si des demandes d'espace supplémentaire sont effectuées, il se peut que l'application reçoive une exception OutOfMemoryError, qui entraîne l'arrêt de la JVM si cette dernière n'est pas interceptée et traitée. A ce stade, la machine virtuelle génère un fichier Javadump utilisé pendant les diagnostics. Dans ces cas de figure, il est recommandé d'augmenter la taille du segment à l'aide de l'option -Xmx ou de réduire le nombre d'objets utilisés.
Pour en savoir plus, voir le document Diagnostics Guide.
IBM SDK et Runtime Environment définissent l'euro comme devise par défaut pour les pays de l'Union Monétaire Européenne (UME) pour les dates ultérieures au 31 décembre 2001. A partir du 1 janvier 2008, Chypre et Malte utiliseront également l'euro comme devise par défaut.
Pour utiliser l'ancienne devise nationale, entrez -Duser.variant=PREEURO sur la ligne de commande Java.
Si vous utilisez les paramètres nationaux du Royaume-Uni, du Danemark ou de la Suède et souhaitez utiliser l'euro, entrez -Duser.variant=EURO sur la ligne de commande Java.
| | |A partir de la version 6, les méthodes de saisie indiennes et thaïs ne sont pas disponibles par défaut. Vous devez inclure manuellement les fichiers jar de la méthode de saisie dans le chemin d'accès aux extensions Java pour pouvoir utiliser les méthodes de saisie indiennes et thaïs.
Dans la version 5.0, les fichiers jar de la méthode de saisie sont inclus dans le répertoire jre\lib\ext et sont automatiquement chargés par la machine virtuelle. Dans la version 6, les fichiers jar de la méthode de saisie sont inclus dans le répertoire jre\lib\im et doivent être ajoutés manuellement au chemin d'accès aux extensions Java pour permettre l'utilisation des méthodes de saisie indiennes et thaïs. Pour ce faire, utilisez l'une des méthodes suivantes :
|java -Djava.ext.dirs=C:\Program Files\IBM\Java60\jre\lib\ext;C:\Program Files\IBM\Java60\jre\lib\im <classe>
|
Si vous avez installé le SDK ouRuntime Environment dans un répertoire différent, |remplacez C:\Program Files\IBM\Java60\ par le répertoire dans lequel vous avez installé le SDK ou Runtime Environment.
Le SDK pour Windows contient plusieurs bibliothèques et outils requis pour le développement d'applications Java.
Voir Outils SDK et informations de référence pour en savoir plus sur les outils disponibles.
| | |IBM SDK contient les analyseurs syntaxiques XML4J et |XL XP-J, le compilateur XL TXE-J 1.0 XSLT ainsi que l'interpréteur XSLT4J XSLT. |Ces outils vous permettent d'analyser, de valider, transformer et sérialiser des documents XML indépendamment de toute implémentation de traitement XML donnée.
|
Utilisez les localisateurs de fabrique pour rechercher les implémentations de classes Factory abstraites, comme décrit dans la section Sélection d'un processeur XML. |A l'aide des localisateurs de fabrique, vous pouvez sélectionner une bibliothèque XML différente sans modifier le code Java.
|IBM SDK for Java comporte les bibliothèques XML répertoriées ci-dessous.
|XML4J est un analyseur syntaxique prenant en charge les normes suivantes : |
|XML4J 4.5 est basé sur Apache Xerces-J 2.9.0. Voir http://xerces.apache.org/xerces2-j/ pour plus d'informations.
|XL XP-J 1.1 est un analyseur syntaxique non-validant haute performance prenant en charge StAX 1.0 (JSR 173) ; une API bidirectionnelle utilisée pour l'analyse d'extraction et la sérialisation du flux des documents XML 1.0 et XML 1.1. Voir la section Informations de référence relatives à XL XP-J pour plus d'informations sur les éléments pris en charge par XL XP-J 1.1.
|La version 5.0 de IBM SDK for Java contenait l'interpréteur et le compilateur XSLT4J. |L'interpréteur XSLT4J était utilisé par défaut.
| |La version 6 deIBM SDK for Java comporte XL TXE-J. XL TXE-J contient l'interpréteur XSLT4J version 2.7.8 ainsi qu'un nouveau compilateur XSLT. |Le nouveau compilateur est utilisé par défaut. Le compilateur XSLT4J n'est plus compris dans IBM SDK |for Java, voir Migration vers le compilateur XL-TXE-J pour plus d'informations sur la migration vers XL TXE-J.
| |XL TXE-J prend en charge les normes suivantes : |
|La sélection d'un processeur XML est effectuée à l'aide de fournisseurs de services. Lors de l'utilisation d'un localisateur de fabrique, Java examine les éléments suivants afin de déterminer le fournisseur de services à utiliser : |
|Les fournisseurs de services suivants contrôlent les bibliothèques de traitement XML utilisées par Java : |
|L'interpréteur XSLT4J est à présent remplacé par le compilateur XL TXE-J comme processeur XSLT par défaut. Procédez comme suit afin que votre application puisse utiliser la nouvelle bibliothèque.
|
Le compilateur XL TXE-J est plus rapide que l'interpréteur XSLT4J lorsqu'une seule transformation est appliquée plusieurs fois. Si vous exécutez une transformation plusieurs fois, la vitesse d'exécution du compilateur XL TXE-J est inférieure à celle de l'interpréteur XSLT4J en raison du temps système de compilation et d'optimisation.
|Pour continuer à utiliser l'interpréteur XSLT4J comme processeur XSLT, attribuez la valeur org.apache.xalan.processor.TransformerFactoryImpl au fournisseur de services javax.xml.transform.TransformerFactory.
|Procédez comme suit pour migrer vers le compilateur XL-TXE-J :
|Attribut du compilateur XSL4J | |Attribut du compilateur XL TXE-J | |
---|---|
translet-name | |http://www.ibm.com/xmlns/prod/xltxe-j/translet-name | |
destination-directory | |http://www.ibm.com/xmlns/prod/xltxe-j/destination-directory | |
package-name | |http://www.ibm.com/xmlns/prod/xltxe-j/package-name | |
jar-name | |http://www.ibm.com/xmlns/prod/xltxe-j/jar-name | |
generate-translet | |http://www.ibm.com/xmlns/prod/xltxe-j/generate-translet | |
auto-translet | |http://www.ibm.com/xmlns/prod/xltxe-j/auto-translet | |
use-classpath | |http://www.ibm.com/xmlns/prod/xltxe-j/use-classpath | |
debug | |http://www.ibm.com/xmlns/prod/xltxe-j/debug | |
indent-number | |http://www.ibm.com/xmlns/prod/xltxe-j/indent-number | |
enable-inlining | |Obsolète dans le nouveau compilateur | |
Les bibliothèques XL XP-J et XL TXE-J XML sont de nouvelles options de la version 6 du SDK. Ces informations de référence décrivent les fonctions prises en charge par ces bibliothèques.
XL XP-J 1.1 est un analyseur syntaxique non-validant haute performance prenant en charge StAX 1.0 (JSR 173) ; une API bidirectionnelle utilisée pour l'analyse d'extraction et la sérialisation du flux des documents XML 1.0 et XML 1.1.
Les options StAX facultatives ci-après ne sont pas prises en charge par XL XP-J : |
|Les propriétés suivantes sont prises en charge par l'implémentation javax.xml.stream.XMLInputFactory, comme décrit dans la documentation Java |XMLInputFactory .
| |Nom de la propriété | |Pris en charge | |
---|---|
javax.xml.stream.isValidating | |Non. Le scanner XL XP-J ne prend pas en charge la validation. | |
javax.xml.stream.isNamespaceAware | |Oui (prend en charge les valeurs true et false). Pour les propriétés XMLStreamReader créées à partir de DOMSource, le traitement des espaces de nom dépend des méthodes utilisées pour créer l'arborescence DOM. De plus, cette valeur n'a aucune incidence. | |
javax.xml.stream.isCoalescing | |Oui | |
javax.xml.stream.isReplacingEntityReferences | |Oui. Pour les propriétés XMLStreamReader créées à partir de DOMSource, la définition de ce paramètre n'a aucune incidence si des entités ont déjà été remplacées dans l'arborescence DOM. | |
javax.xml.stream.isSupportingExternalEntities | |Oui | |
javax.xml.stream.supportDTD | |Non. Les paramètres DTD sont toujours pris en charge. L'attribution de la valeur false n'a aucune incidence. | |
javax.xml.stream.reporter | |Oui | |
javax.xml.stream.resolver | |Oui | |
XL XP-J prend également en charge la méthode facultative createXMLStreamReader(javax.xml.transform.Source), |permettant ainsi la création de programmes de lecture StAX à partir de sources DOM et SAX.
|Les propriétés suivantes sont prises en charge par l'implémentation javax.xml.stream.XMLStreamReader, |comme décrit dans la documentation Java XMLStreamReader.
| |Nom de la propriété | |Pris en charge | |
---|---|
javax.xml.stream.entities | |Oui | |
javax.xml.stream.notations | |Oui | |
XL XP-J prend également en charge la propriété javax.xml.stream.isInterning, qui renvoie une valeur booléenne indiquant si les noms XML et les URI espace de nom renvoyés par les appels d'API ont été pris en considération par l'analyseur syntaxique.
|Les propriétés suivantes sont prises en charge par l'implémentation javax.xml.stream.XMLOutputFactory, |comme décrit dans la documentation JavaXMLOutputFactory.
| |Nom de la propriété | |Pris en charge | |
---|---|
javax.xml.stream.isRepairingNamespaces | |Oui | |
Les propriétés suivantes sont prises en charge par l'implémentation javax.xml.stream.XMLStreamWriter, |comme décrit dans la documentation JavaXMLStreamWriter.
| |Nom de la propriété | |Pris en charge | |
---|---|
javax.xml.stream.isRepairingNamespaces | |Oui | |
Les propriétés des objets XMLStreamWriter sont en lecture seule.
| | |XL TXE-J est une bibliothèque XSLT contenant l'interpréteur XSLT4J 2.7.8 et un compilateur XSLT.
Fonction | |Interpréteur XSLT4J (inclus) | |Compilateur XSLT4J (non inclus) | |Compilateur XL TXE-J (inclus) | |
---|---|---|---|
Fonction http://javax.xml.transform.stream.StreamSource/feature | |Oui | |Oui | |Oui | |
Fonction http://javax.xml.transform.stream.StreamResult/feature | |Oui | |Oui | |Oui | |
Fonction http://javax.xml.transform.dom.DOMSource/feature | |Oui | |Oui | |Oui | |
Fonction http://javax.xml.transform.dom.DOMResult/feature | |Oui | |Oui | |Oui | |
Fonction http://javax.xml.transform.sax.SAXSource/feature | |Oui | |Oui | |Oui | |
Fonction http://javax.xml.transform.sax.SAXResult/feature | |Oui | |Oui | |Oui | |
Fonction http://javax.xml.transform.stax.StAXSource/feature | |Oui | |Non | |Oui | |
Fonction http://javax.xml.transform.stax.StAXResult/feature | |Oui | |Non | |Oui | |
Fonction http://javax.xml.transform.sax.SAXTransformerFactory/feature | |Oui | |Oui | |Oui | |
Fonction http://javax.xml.transform.sax.SAXTransformerFactory/feature/xmlfilter | |Oui | |Oui | |Oui | |
Fonction http://javax.xml.XMLConstants/feature/secure-processing | |Oui | |Oui | |Oui | |
Attribut http://xml.apache.org/xalan/features/incremental | |Oui | |Non | |Non | |
Attribut http://xml.apache.org/xalan/features/optimize | |Oui | |Non | |Non | |
Attribut http://xml.apache.org/xalan/properties/source-location | |Oui | |Non | |Non | |
Attribut translet-name | |N/A | |Oui | |Oui (avec un nom nouveau) | |
Attribut destination-directory | |N/A | |Oui | |Oui (avec un nom nouveau) | |
Attribut package-name | |N/A | |Oui | |Oui (avec un nom nouveau) | |
Attribut jar-name | |N/A | |Oui | |Oui (avec un nom nouveau) | |
Attribut generate-translet | |N/A | |Oui | |Oui (avec un nom nouveau) | |
Attribut auto-translet | |N/A | |Oui | |Oui (avec un nom nouveau) | |
Attribut use-classpath | |N/A | |Oui | |Oui (avec un nom nouveau) | |
Attribut enable-inlining | |Non | |Oui | |Non (obsolète pour TL TXE-J) | |
Attribut indent-number | |Non | |Oui | |Oui (avec un nom nouveau) | |
Attribut debug | |Non | |Oui | |Oui (avec un nom nouveau) | |
Extensions Java | |Oui | |Oui (syntaxe abrégée uniquement, les constructions xalan:component/xalan:script |ne sont pas prises en charge) | ||
Extensions JavaScript | |Oui | |Non | |Non | |
Eléments d'extension | |Oui | |Non | |Non | |
Fonctions d'extension EXSLT | |Oui | |Oui (excluant les extensions dynamiques) | |Oui (excluant les extensions dynamiques) | |
Extension Redirect | |Oui | |Oui (redirect:open et redirect:close sont exclus) | |Oui | |
Extension output | |Non | |Oui | |Oui | |
Extension nodeset | |Oui | |Oui | |Oui | |
Fonctions d'extension NodeInfo | |Oui | |Non | |Non | |
Extension de bibliothèque SQL | |Oui | |Non | |Non | |
Extension pipeDocument | |Oui | |Non | |Non | |
Extension evaluate | |Oui | |Non | |Non | |
Extension tokenize | |Oui | |Non | |Non | |
XML 1.1 | |Oui | |Oui | |Oui | |
Avec la commande Process, utilisez -FLAVOR |sr2sw pour une transformation à l'aide du traitement du flux StAX et-FLAVOR |er2ew pour un traitement d'événement StAX.
|Le nouveau compilateur ne recherche pas |le fournisseur de services org.apache.xalan.xsltc.dom.XSLTCDTMManager. A la place, si StreamSource est utilisé, le compilateur bascule vers un analyseur syntaxique XML de haute performance.
|La mise en ligne est obsolète dans XL |TXE-J. |
|La classe org.apache.xalan.xsltc.trax.SmartTransformerFactoryImpl n'est plus prise en charge.
| |Si vous utilisez une ancienne version de Xerces (antérieure à 2.0) ou de Xalan (antérieure à 2.3) dans la substitution approuvée, il se peut qu'une variante NullPointerException soit émise lorsque vous lancez votre application. Cette exception se produit car les anciennes versions ne gèrent pas le fichier jaxp.properties correctement.
|
Pour éviter cette situation, utilisez l'une des solutions suivantes : |
|set IBM_JAVA_OPTIONS=-Djavax.xml.parsers.SAXParserFactory=
| org.apache.xerces.jaxp.SAXParserFactoryImpl
ou
|set IBM_JAVA_OPTIONS=-Djavax.xml.parsers.DocumentBuilderFactory=
| org.apache.xerces.jaxp.DocumentBuilderFactoryImpl
ou
|set IBM_JAVA_OPTIONS=-Djavax.xml.transform.TransformerFactory=
| org.apache.xalan.processor.TransformerFactoryImpl
Pour déboguer les programmes Java, vous pouvez utiliser l'application Java Debugger (JDB) ou d'autres débogueurs communiquant à l'aide de l'architecture JPDA (Java Platform Debugger Architecture) fournie par le SDK pour Windows.
Pour plus d'informations sur la procédure de diagnostic à l'aide de Java, reportez-vous au document Diagnostics Guide.
Le débogueur Java (JDB) est inclus dans le SDK de Windows. Il est appelé par la commande jdb et se connecte à la machine virtuelle à l'aide de JPDA.
Pour déboguer une applicationJava, procédez comme suit :
java -Xdebug -Xrunjdwp:transport=dt_shmem,server=y,address=<port> <classe>La machine virtuelle démarre mais interrompt l'exécution avant de démarrer l'application Java.
jdb -attach <port>Le débogueur se connecte à la machine virtuelle, ce qui vous permet à présent d'émettre une série de commandes pour examiner et contrôler l'application Java. Par exemple, entrez run pour permettre l'exécution de l'application Java.
Pour plus d'informations sur les options JDB, entrez :
jdb -help
Pour plus d'informations sur les commandes JDB, entrez :
Vous pouvez également utiliser JDB pour déboguer les applications Java en cours d'exécution sur les machines distantes. JPDA utilise une socket TCP/IP pour la connexion à la machine virtuelle distante.
java -Xdebug -Xrunjdwp:transport=dt_shmem,server=y,address=<port> <classe>La machine virtuelle démarre mais interrompt l'exécution avant de démarrer l'application Java.
jdb -connect com.sun.jdi.SocketAttach:hostname=<host>,port=<port>
Cette version ne prend pas en charge l'interface JVMDI (Java Virtual Machine Debugging Interface). Elle a été remplacée par l'interface JVMTI (Java Virtual Machine Tool Interface).
Pour plus d'informations sur l'utilisation de JDB et JPDA, consultez les sites Web suivants :
Certaines applications Java doivent pouvoir déterminer si elles s'exécutent sur une machine virtuelle Java 32 ou 64 bits. Par exemple, si votre application possède une bibliothèque de code native, celle-ci doit être compilée séparément en 32 et 64 bits pour des plateformes prenant en charge ces deux modes d'opération 32 et 64 bits. Dans ce cas, votre application doit charger la bibliothèque correcte lors de l'exécution car il est impossible de mélanger du code 32 et 64 bits.
La propriété système com.ibm.vm.bitmode permet aux applications d'identifier le mode dans lequel votre machine virtuelle Java fonctionne. Elle renvoie les valeurs suivantes :
Vous pouvez observer la propriétécom.ibm.vm.bitmode depuis le code de votre application à l'aide de l'appel :
System.getProperty("com.ibm.vm.bitmode");
En cas de signal pertinent pour la JVM, un gestionnaire de signaux est appelé. Il détermine s'il a été appelé pour une unité d'exécution Java ou non Java.
Si le signal concerne une unité d'exécution Java, la JVM prend contrôle du traitement du signal. Si un gestionnaire d'applications pour ce signal est installé et que vous n'avez pas spécifié l'option de ligne de commande-Xnosigchain, le gestionnaire d'applications pour ce signal est appelé une fois le traitement de la machine virtuelle terminé.
Si le signal concerne une unité d'exécution non Java et que l'application qui a installé la JVM a déjà installé un gestionnaire spécifique pour ce signal, le contrôle est passé à ce gestionnaire. Sinon, si le signal est demandé par la JVM ou l'application Java, il est ignoré ou l'action par défaut est effectuée.
Lorsqu'un signal est généré de façon externe (lorsque vous appuyez sur CTRL-BREAK par exemple), une nouvelle unité d'exécution est créée pour le gestionnaire de signaux. Dans ce cas, le gestionnaire de signaux JVM effectue son traitement et si un gestionnaire d'applications pour ce signal est installé et que vous n'avez pas spécifié l'option de ligne de commande -Xnosigchain, le gestionnaire d'applications pour ce signal est appelé.
En cas de signaux d'exception ou d'erreur, la JVM effectue l'une des opérations suivantes :
En cas de signaux d'interruption, la JVM démarre également une séquence d'arrêt contrôlé, mais cette fois, elle l'exécute comme un arrêt normal :
La procédure de fermeture est identique à celle démarrée par un appel de la méthode Java System.exit().
D'autres signaux utilisés par la JVM sont réservés à des fins de contrôle interne et ne provoquent pas l'arrêt de la JVM. Le seul signal de contrôle intéressant est SIGBREAK qui entraîne un vidage Javadump.
Les types de signaux sont Interruptions et Contrôles.
Le tableau 7 ci-dessous indique les signaux utilisés par la JVM. Ces signaux sont regroupés par type ou par utilisation, de la façon suivante :
Nom du signal | Type de signal | Description | Désactivé par -Xrs |
---|---|---|---|
SIGINT (2) | Interruption | Attention interactive (Ctrl-C). JVM s'arrête normalement. | Oui |
SIGTERM (15) | Interruption | Demande d'arrêt. JVM s'arrête normalement. | Oui |
SIGBREAK | Contrôle | Signal d'arrêt envoyé par un terminal. Un vidage Javadump est déclenché par défaut. | Oui |
La machine virtuelle JVM IBM utilise la gestion structurée des exceptions et l'API SetConsoleCtrlHandler(). Ces éléments sont désactivés à l'aide de -Xrs. -Xnosigchain est ignoré sous Windows.
Utilisez l'option -Xrs (réduction de l'utilisation des signaux) pour empêcher la JVM de traiter la plupart des signaux. Pour plus d'informations, voir la page de lancement du programme d'applications Java de Sun.
Les signaux 2 (SIGINT) et 15 (SIGTERM) sur les unités d'exécution JVM provoquent l'arrêt de la machine JVM. Par conséquent, un gestionnaire de signaux d'application ne doit tenter aucune récupération à partir de ces signaux à moins qu'il n'ait plus besoin de la JVM.
L'environnement d'exécution dispose d'une fonction de chaînage de signaux. Cette fonction permet à la JVM d'interagir plus efficacement avec du code natif qui installe ses propres gestionnaires de signaux.
La fonction de chaînage de signaux permet à une application de créer un lien vers la bibliothèque partagée jsig.dll avant msvcrt.dll, et de la charger. La bibliothèque jsig.dll garantit l'interception des appels à signal(), afin que ses gestionnaires ne remplacent pas les gestionnaires de signaux de la JVM. Ces appels enregistrent les nouveaux gestionnaires de signaux ou les "chaînent" à la suite des gestionnaires qui sont installés par la JVM. Par la suite, lorsque l'un de ces signaux est déclenché ou qu'il s'avère qu'il ne s'adresse pas à la JVM, les gestionnaires préinstallés sont appelés.
La bibliothèque libjsig.dll masque également les gestionnaires de signaux JVM vis à vis de l'application. Ainsi, les appels tels que signal(), sigset() et sigaction() qui sont effectués après le démarrage de la JVM ne renvoient plus de référence au gestionnaire de signaux de la JVM mais à n'importe quel gestionnaire déjà installé avant le démarrage de la JVM.
La variable d'environnement JAVA_HOME doit être définie à l'emplacement du SDK, par exemple, C:\Program Files\IBM\Java60\.
Pour utiliser jsig.dll, liez-la à l'application qui crée ou incorpore une JVM.
Les numéros de versions JNI que des programmes natifs peuvent indiquer dans l'appel de l'API JNI_CreateJavaVM() sont : JNI_VERSION_1_2(0x00010002) et JNI_VERSION_1_4(0x00010004).
Le numéro de version détermine uniquement le niveau de l'interface native JNI à utiliser. Le niveau de la machine virtuelle créée est précisé par les bibliothèques JSE (à savoir, v6). L'API de l'interface JNI n'affecte pas la spécification de langue implémentée avec la machine virtuelle, les API de bibliothèque de classe ou tout autre aspect du comportement de la machine virtuelle. Pour plus d'informations, voir http://java.sun.com/javase/6/docs/technotes/guides/jni/.
Si votre application a besoin de deux bibliothèques JNI, l'une pour 32 bit et l'autre pour 64 bits, employez la propriété système com.ibm.vm.bitmode afin de déterminer si vous travaillez avec une machine virtuelle 32 ou 64 bits et choisissez la bibliothèque en conséquence.
Vous pouvez activer la prise en charge de grandes pages sur des systèmes l'autorisant en démarrant Java avec l'option -Xlp.
L'utilisation de grandes pages est principalement destinée à améliorer les performances des applications qui allouent une quantité de mémoire importante et qui accèdent fréquemment à cette mémoire. L'amélioration des performances en utilisant des grandes pages provient principalement du nombre réduit d'échecs dans le TLB (Translation Lookaside Buffer). Le TLB mappe une plus grande mémoire virtuelle, d'où cette amélioration.
Pour que la machine virtuelle Java utilise des grandes pages, votre système doit posséder un nombre adéquat de grandes pages contiguës disponibles. S'il est impossible d'allouer des grandes pages même si celles disponibles sont suffisantes, c'est qu'elles ne sont probablement pas contiguës.
Les allocations de grandes pages se produisent uniquement si la règle d'administration locale de l'utilisateur de la machine virtuelle Java est configurée pour autoriser «des pages verrouillées dans la mémoire».
Java Platform, Standard Edition (JSE), prend au minimum en charge les spécifications définies dans la documentation relative à la conformité de Sun. Dans certains cas, la fonction ORB JSE IBM prend en charge les versions les plus récentes des spécifications.
Les spécifications prises au minimum en charge sont définies dans les spécifications officielles de prise en charge de CORBA dans Java SE 6.
Ce SDK prend en charge toutes les versions de GIOP, telles qu'elles sont définies dans les chapitres 13 et 15 de la spécification CORBA 2.3.1, document OMG formal/99-10-07.
http://www.omg.org/cgi-bin/doc?formal/99-10-07
Le protocole GIOP bidirectionnel n'est pas pris en charge.
Ce SDK prend en charge les intercepteurs portables, tels que définis par le groupe MG dans le document ptc/01-03-04, accessible sur le site Web suivant :
http://www.omg.org/cgi-bin/doc?ptc/01-03-04
Les intercepteurs portables sont des points d'ancrage dans la fonction ORB par le biais desquels les services ORB peuvent intercepter le flux normal d'exécution de l'ORB.
Ce SDK prend en charge INS (Interoperable Naming Service), tel que défini par le groupe OMG dans le document ptc/00-08-07, accessible sur le site Web suivant :
http://www.omg.org/cgi-bin/doc?ptc/00-08-07
Le port par défaut utilisé par le serveur de noms transitoire (commande tnameserv), lorsqu'aucun paramètre ORBInitialPort n'est fourni, est passé de 900 à 2809, c'est-à-dire au numéro de port enregistré auprès de l'IANA (Internet Assigned Number Authority) pour un service annuaire CORBA. Les programmes qui dépendent de cette valeur par défaut peuvent nécessiter une mise à jour pour fonctionner avec cette version.
Le contexte initial renvoyé par le serveur de noms transitoire est à présent un org.omg.CosNaming.NamingContextExt. Les programmes existants qui réduisent la référence à un contexte org.omg.CosNaming.NamingContext fonctionnent toujours et n'ont pas besoin d'être recompilés.
La fonction ORB prend en charge les paramètres -ORBInitRef et -ORBDefaultInitRef définis par la spécification INS (Interoperable Naming Service) et l'opération ORB::string_to_object prend désormais en charge les formats de chaîne ObjectURL (corbaloc: et corbaname:) définis par la spécification INS.
La fonction OMG définit une méthode ORB::register_initial_reference pour enregistrer un service auprès de l'INS. Toutefois, cette méthode n'est pas disponible dans l'API Sun Java centrale Version 6. Les programmes ayant besoin d'enregistrer un service dans la version actuelle doivent appeler cette méthode sur la classe d'implémentation ORB interne IBM. Par exemple, pour enregistrer un service «MonService» :
((com.ibm.CORBA.iiop.ORB)orb).register_initial_reference("MonService", serviceRef);
Où orb correspond à une instance d'org.omg.CORBA.ORB, renvoyée par ORB.init(), et serviceRef correspond à un objet CORBA, connecté à la fonction ORB. Ce mécanisme est temporaire et n'est pas compatible avec les versions ultérieures, ni portable sur les ORB non IBM.
Une fonction de débogage d'exécution améliore la maintenabilité. Elle peut être utile pour la procédure de diagnostic ou être demandée par le service de maintenance IBM.
Par exemple, pour tracer les événements et les messages GIOP mis en forme à partir de la ligne de commande, entrez :
java -Dcom.ibm.CORBA.Debug=true -Dcom.ibm.CORBA.CommTrace=true <myapp>
N'activez pas le traçage pour le fonctionnement normal car cela pourrait réduire les performances. Même si vous avez désactivé le traçage, l'outil de diagnostic de premier niveau fonctionne toujours, de sorte que les erreurs graves sont signalées. Si un fichier de sortie de débogage est généré, examinez-le pour identifier le problème. Par exemple, il se peut que le serveur se soit arrêté sans effectuer de ORB.shutdown().
Le contenu et le format du fichier de sortie de trace varie d'une version à l'autre.
La fonction ORB peut être ajustée afin d'être compatible avec votre réseau. Les propriétés requises pour ajuster l'ORB sont décrites dans cette section.
Pour désactiver la fragmentation, définissez une taille de fragmentation de 0 octets :
java -Dcom.ibm.CORBA.FragmentSize=0 <monApp>
Lors de l'exécution avec un gestionnaire de sécurité Java, l'appel de certaines méthodes des classes API CORBA peut donner lieu à des vérifications de droits et, par conséquent, générer une exception de sécurité. Si votre programme utilise l'une de ces méthodes, assurez-vous qu'il bénéficie des droits nécessaires.
Classe/Interface | Méthode | Droit requis |
---|---|---|
org.omg.CORBA.ORB | init | java.net.SocketPermission resolve |
org.omg.CORBA.ORB | connect | java.net.SocketPermission listen |
org.omg.CORBA.ORB | resolve_initial_references | java.net.SocketPermission connect |
org.omg.CORBA. portable.ObjectImpl | _is_a | java.net.SocketPermission connect |
org.omg.CORBA. portable.ObjectImpl | _non_existent | java.net.SocketPermission connect |
org.omg.CORBA. portable.ObjectImpl | OutputStream _request (chaîne, booléen) | java.net.SocketPermission connect |
org.omg.CORBA. portable.ObjectImpl | _get_interface_def | java.net.SocketPermission connect |
org.omg.CORBA. Request | invoke | java.net.SocketPermission connect |
org.omg.CORBA. Request | send_deferred | java.net.SocketPermission connect |
org.omg.CORBA. Request | send_oneway | java.net.SocketPermission connect |
javax.rmi. PortableRemoteObject | narrow | java.net.SocketPermission connect |
Liste des classes d'implémentation ORB.
Les classes d'implémentation ORB de cette version sont les suivantes :
Ces valeurs sont celles définies par défaut. Il est conseillé de ne pas définir ces propriétés, ni de faire directement référence aux classes d'implémentation. Pour garantir la portabilité de l'application, faites uniquement référence aux classes de l'API CORBA et non à l'implémentation. Il se peut que ces valeurs soient modifiées dans des versions futures.
L'invocation RMI Java fournit un mécanisme simple de programmation Java distribuée. RMI sur IIOP (RMI-IIOP) utilise le protocole IIOP (Internet Inter-ORB Protocol) standard CORBA (Common Object Request Broker Architecture) pour étendre le RMI Java de base pour la communication. Une interaction directe est ainsi permise avec tout autre ORB CORBA, qu'il soit mis en oeuvre en Java ou dans un autre langage de programmation.
La documentation suivante est disponible :
Le regroupement d'unités d'exécution pour les gestionnaires de connexions RMI n'est pas activé par défaut.
Pour activer le regroupement de connexions implémenté au niveau du transport TCP du RMI, set définissez l'option
-Dsun.rmi.transport.tcp.connectionPool=true
Cette version de Runtime Environment ne contient pas de paramètre permettant de restreindre le nombre d'unités d'exécution du pool de connexions.
Depuis Java 5.0, la classe Big Decimal IBM est adoptée par Sun en tant que java.math.BigDecimal. La classe com.ibm.math.BigDecimal est réservée pour une utilisation ultérieure probable par IBM et est actuellement obsolète. Migrez le code Java existant pour utiliser java.math.BigDecimal.
La nouvelle classe java.math.BigDecimal utilise les mêmes méthodes que les classes java.math.BigDecimal et com.ibm.math.BigDecimal précédentes. Le code existant qui utilise java.math.BigDecimal continue à fonctionner correctement. Les deux classes ne peuvent pas être sérialisées.
Pour faire migrer le code Java existant afin d'utiliser la classe java.math.BigDecimal, modifiez l'instruction d'importation au début du fichier .java en remplaçant import com.ibm.math.*; par import java.math.*;.
Le plug-in Java peut-être utilisé pour exécuter les applications Java dans le navigateur. Applet Viewer est utilisé pour tester les applications devant être exécutées dans un navigateur. Java Web Start est utilisé pour déployer les applications Java sur un réseau et fournit un mécanisme permettant de les conserver à jour.
Le plug-in Java est un plug-in de navigateur Web. Le plug-inJava peut être utilisé pour exécuter des applets dans le navigateur.
Vous devez laisser les applets se charger complètement pour éviter le blocage du navigateur. Par exemple, si vous cliquez sur le bouton Précédente puis Suivante alors qu'une applet est en cours de chargement, les pages HTML peuvent ne pas s'afficher.
Vous trouverez plus d'informations sur le plug-in Java sur le site de Sun à l'adresse http://java.sun.com/javase/6/docs/technotes/guides/plugin/developer_guide/.
Le plug-in Java prend en charge Internet Explorer, Netscape, Mozilla, ainsi que Mozilla Firefox.
Navigateur | Versions prises en charge |
---|---|
Internet Explorer | 6.0 SP1, 7.0 |
Netscape (non pris en charge sousWindows Vista) | 7.2 |
Mozilla (non pris en charge sousWindows Vista) | 1.7, 1.8 |
Firefox | 2.0 |
Les navigateurs de versions secondaires ultérieures sont également pris en charge.
Internet Explorer 5.01, navigateur par défaut sousWindows 2000, n'est pas pris en charge.
La vérification statique des versions permet aux applets de demander une version de machine virtuelle JVM spécifique sur laquelle s'exécuter. Comme cette fonctionnalité permet également aux applets de profiter des anciennes failles de sécurité des systèmes mis à niveau vers une nouvelle machine virtuelle JVM, la vérification statique et sécurisée des versions est désormais utilisée sur Internet Explorer.
Par défaut, toutes les applets sont exécutées sur la dernière machine virtuelle JVM installée. Pour désactiver la vérification statique et sécurisée des versions, définissez la clé de registre suivante à 0 :
HKEY_LOCAL_MACHINE\Software\IBM\Java Deployment\Policy\EnableSecureStaticVersioning
Si cette clé de registre n'existe pas, la vérification statique et sécurisée des versions est activée.
Cette vérification ne fonctionne pas si les extensions tierce partie du navigateur sont désactivées dans Internet Explorer. Pour activer ces extensions :
Si les extensions tierce partie du navigateur sont désactivées après utilisation de la vérification statique et sécurisée des versions, celle-ci continue à fonctionner.
Pour protéger les navigateurs Mozilla et Firefox, le plug-in d'Internet Explorer supprime automatiquement tous les plug-ins Java des répertoires de plug-ins Mozilla et Firefox. Ceci se produit à chaque fois qu'une applet est exécutée sous Internet Explorer.
Pour réinstaller un plug-in Java sur Mozilla ou Firefox, utilisez le panneau de configuration Java.
En raison des limitations de certains navigateurs, vous ne pourrez peut-être pas implémenter toutes les fonctions du module org.w3c.dom.html.
Une des erreurs suivantes se produit :
Le plug-in Java prend en charge les caractères double octet (par exemple, le chinois traditionnel BIG-5, le coréen et le japonais) en tant que paramètres pour les balises <APPLET>, <OBJECT>, et <EMBED>. Vous devez sélectionner le codage des caractères correct pour le document HTML de sorte que le plug-in Java puisse analyser le paramètre.
Indiquez le codage des caractères pour le document HTML à l'aide de la balise <META> dans la section <HEAD>, comme suit :
<meta http-equiv="Content-Type" content="text/html; charset=big5">
Cet exemple demande au navigateur d'analyser le fichier HTML à l'aide du codage de caractères Chinese BIG-5.
Applet Viewer vous permet d'exécuter une ou plusieurs applets appelées par référence dans une page Web (fichier HTML) à l'aide de la balise APPLET. Il détecte les balises APPLET dans le fichier HTML et exécute les applets dans des fenêtres séparées, comme indiqué par les balises.
Applet Viewer étant réservé à l'affichage d'applets, il ne peut pas afficher la totalité d'une page Web contenant de nombreuses balises HTML. En effet, il analyse uniquement les balises APPLET et non les autres balises HTML présentes sur la page.
Utilisez la commande suivante pour exécuter un applet à l'aide d'Applet Viewer.
A partir d'une invite de commande, entrez :
appletviewer <nom>
où <nom> correspond à l'un des éléments suivants :
Par exemple, pour appeler Applet Viewer sur un fichier HTML qui appelle un applet, entrez à l'invite de commande :
appletviewer <demo>\GraphLayout\example1.html
où <demo> est remplacé par le chemin complet où vous avez dézippé le module de démonstration.
Pour appeler Applet Viewer sur une page Web, entrez à l'invite de commande :
appletviewer http://java.sun.com/applets/NervousText/exemple1.html
Applet Viewer ne reconnaît pas l'option charset de la balise <META>. Si le fichier chargé par Applet Viewer n'est pas codé en tant que valeur par défaut du système, une exception E-S peut se produire. Pour éviter cette exception, utilisez l'option -encoding lorsque vous exécutez appletviewer. Par exemple :
appletviewer -encoding JISAutoDetect sample.html
Un ensemble unique de CLSID a été ajouté à la machine virtuelle d'IBM lors de l'actualisation de service 1 de la version 6.
Les nouveaux CLSID sont les suivants :
1ACECAFE-0016-0000-0000-ABCDEFFEDCBA 1ACECAFE-0016-0000-0000-ABCDEFFEDCBB 1ACECAFE-0016-0000-0000-ABCDEFFEDCBC
Vous pouvez vous référer aux CLSID mentionnés ci-dessus dans la balise OBJECT de vos applets.
De plus, les CLSID suivants sont pris en charge pour des besoins de compatibilité :
CAFEEFAC-0016-0000-0000-ABCDEFFEDCBA CAFEEFAC-0016-0000-0000-ABCDEFFEDCBB CAFEEFAC-0016-0000-0000-ABCDEFFEDCBC
L'option -debug d'Applet Viewer permet de déboguer les applets.
Par exemple :
cd demo\applets\TicTacToe ..\..\..\bin\appletviewer -debug exemple1.html
Vous trouverez de la documentation sur le débogage d'applets à l'aide d'Applet Viewer sur le site Web de Sun à l'adresse http://java.sun.com/javase/6/docs/technotes/guides/plugin/developer_guide/debugger.html.
Java Web Start est utilisé pour le déploiement d'applications Java.
Web Start vous permet de lancer et de gérer des applications directement à partir du Web. Les applications sont mises en cache pour réduire les temps d'installation. Elles sont automatiquement mises à niveau lorsque de nouvelles versions sont disponibles.
Web Start prend en charge ces java-vm-args décrits sur le site Web http://java.sun.com/javase/6/docs/technotes/guides/javaws/developersguide/syntax.html#resources :
IBM Web Start prend également en charge -Xgcpolicy pour définir la règle de récupération de place.
Pour plus d'informations sur les navigateurs prenant en charge Web Start, voir Navigateurs pris en charge.
Pour plus d'informations sur Web Start, voir :
Pour plus d'informations sur le déploiement des applications, voir
Web Start peut être exécuté depuis une page Web ou une ligne de commande. Les applications Web Start sont stockées dans le cache de l'application Java.
Vous pouvez appeler Web Start de plusieurs façons.
javaws <URL>où <URL> correspond à l'emplacement d'un fichier .jnlp.
C:\Program Files\IBM\Java60\jre\bin\javaws| -viewer
Toutes les applications Java Web Start sont stockées dans le cache de l'application Java. Une application est uniquement téléchargée si la version la plus récente de cette application n'est pas stockée dans le cache.
La gestion des versions statiques autorise les applications Web Start à demander une version JVM particulière sous laquelle s'exécuter. Puisque cette fonctionnalité permet également aux applications d'exploiter les anciennes défaillances relatives à la sécurité sur des systèmes qui ont été mis à niveau vers une nouvelle machine virtuelle, la gestion sécurisée des versions statiques (Secure Static Versioning, SSV) est désormais utilisée par défaut.
Avec SSV, l'utilisateur recevra un avertissement avant l'exécution de toute application Web Start non signée qui requiert l'utilisation d'une machine virtuelle spécifique. Les applications signées et celles qui requièrent la version la plus récente de la machine virtuelle s'exécutent normalement.
Vous pouvez désactiver SSV en attribuant la valeur false à la propriété deployment.javaws.ssv.enabled du fichier deployment.properties.
Les applications Java sont généralement composées de fichiers de classes, de ressources et de données.
Lorsque vous livrez une application Java, le package se compose probablement de ce qui suit :
Pour exécuter votre application, les utilisateurs ont besoin de Runtime Environment for Windows. SDK for Windows inclut un Runtime Environment. Toutefois, vous ne pouvez pas supposer que SDK for Windows est installé pour les utilisateurs.
Votre licence de SDK for Windows ne vous permet pas de redistribuer les fichiers du SDK avec votre application. Assurez-vous qu'une version sous licence de SDK for Windows est installée sur la machine cible.
Le partage de données de classes permet à plusieurs machines JVM de partager le même espace en mémoire.
La machine virtuelle Java (JVM) vous permet de partager des données de classes entre JVM en les stockant dans unfichier cache mappé en mémoire sur disque. Le partage de classes réduit la consommation globale de mémoire virtuelle lorsque plusieurs machines virtuelles partagent un cache. Il diminue également le temps de démarrage d'une machine virtuelle après création du cache. Le cache de classes partagées est indépendant de toute machine virtuelle active et demeure jusqu'à ce qu'il soit détruit .
Un cache partagé peut contenir les éléments suivants :
Le partage de données de classes est une méthode transparente permettant de réduire l'encombrement de la mémoire et d'améliorer le temps de démarrage de la machine virtuelle. |Java 6 |propose de nouvelles fonctions permettant d'améliorer la gestion, l'isolement et la performance du cache.
Activez le partage de données de classes à l'aide de l'option -Xshareclasses au démarrage de la machine virtuelle. La machine virtuelle JVM se connecte à un cache existant ou crée un cache s'il n'en existe pas déjà un.
Toutes les classes d'amorce et d'application chargées par la machine virtuelle sont par défaut partagées. Les chargeurs de classes personnalisés effectuent automatiquement un partage de classes s'ils étendent le chargeur de classes de l'application ; sinon, ils doivent utiliser l'API Java Helper fournie avec la machine virtuelle pour accéder au cache. (Voir Adaptation de chargeurs de classes personnalisés pour partager des classes.)
|La machine virtuelle peut également stocker le code AOT compilé dans le cache pour certaines méthodes afin d'améliorer le temps de démarrage des machines virtuelles suivantes. Le code AOT compilé n'est pas partagé entre plusieurs machines virtuelles, mais est mis en cache pour réduire le temps de compilation lors du démarrage de la machine virtuelle. Le nombre de codes AOT stockés dans le cache est déterminé de manière heuristique. Les méthodes pouvant être stockées dans le cache ne peuvent pas être contrôlées, mais vous pouvez définir des limites supérieures et inférieures pouvant être appliquées à la quantité d'espace de cache requise pour le code AOT. Vous pouvez également désactiver la mise en cache du code AOT complètement. |Voir Activation et configuration du partage de données de classes pour plus d'informations.
|Une machine virtuelle peut accéder à un cache en mode lecture-écriture ou en mode lecture seule. Toutes les machines virtuelles connectées à un cache dotés de droits d'accès en lecture-écriturepeuvent mettre le cache à jour. Plusieurs machines virtuelles peuvent lire en même temps à partir du cache, et ce, même lors de l'écriture dans le cache par une autre machine virtuelle.
Soyez vigilant si une modification de code intermédiaire d'exécution est appliquée. Voir Modification du code intermédiaire d'exécution pour plus d'informations.
Comme le cache de classes partagées est conservé au-delà du cycle de vie d'une machine virtuelle, il est mis à jour de façon dynamique pour refléter les modifications apportées aux fichiers JAR ou aux classes du système de fichiers. La mise à jour dynamique rend le cache transparent pour l'application qui l'utilise.
L'accès au cache des classes est limité par les autorisations Java et du système d'exploitation. Seul un chargeur de classe qui est enregistré pour partager des données de classes peut mettre à jour le cache de classes partagées.
|La mémoire cache est protégée contre les corruptions accidentelles ou délibérées à l'aide de la protection de la page de mémoire. Cependant, il ne s'agit pas d'une protection optimale car la machine virtuelle doit désactiver la protection des pages afin d'écrire dans ces pages. Le seul moyen de garantir qu'un cache ne puisse pas être modifié est de l'ouvrir en lecture seule.
Si un gestionnaire de sécuritéJava SecurityManager est installé, les chargeurs de classe, à l'exception des chargeurs de classe d'extension, d'application et d'amorce, doivent disposer des droits permettant de partager des classes par l'ajout de SharedClassPermission au fichier java.policy. (Voir Utilisation de SharedClassPermission.) L'autorisation RuntimePermission «createClassLoader» restreint la création de chargeurs de classe et restreint donc l'accès au cache.
Plusieurs caches peuvent se trouver sur un même système ; ils sont alors désignés par leur nom, comme sous-option de la commande -Xshareclasses. Une machine virtuelle ne peut se connecter qu'à un seul cache à la fois.
Vous pouvez remplacer la taille du cache par défaut au démarrage à l'aide de -Xscmx<n><size>, mais cette taille ne peut ensuite être modifiée pendant la durée de vie du cache. Les caches existent jusqu'à leur destruction explicite avec une sous-option de la commande -Xshareclasses oule fichier cache est supprimé manuellement.
Tous les utilitaires du cache sont des sous-options de la commande -Xshareclasses. Voir Activation et configuration du partage de données de classes, ou utiliser -Xshareclasses:help pour consulter une liste des sous-options disponibles.
Les utilitaires de partage de données de classes et de gestion de cache sont contrôlés à l'aide des options de ligne de commande du programme de lancement java.
Pour les options employant le paramètre <taille>, ajoutez "k" ou "K" au nombre pour indiquer qu'il s'agit de kilo-octets, "m" ou "M" de mégaoctets ou bien "g" ou "G" de gigaoctets.
Certains utilitaires de cache peuvent être utilisés avec des caches des versions Java précédentes ou des caches créés par des machines virtuelles dotées de largeurs de bits différentes. Ces caches sont appelés des caches «incompatibles».
Vous pouvez utiliser les sous-options suivantes avec l'option -Xshareclasses :
Affiche les informations détaillées relatives au cache spécifié par les sous-options name, cacheDir et nonpersistent. Chaque classe apparaît dans l'ordre chronologique, avec une référence à l'emplacement depuis lequel elle a été chargée. Le code AOT des méthodes de classe est également répertorié.
Voir leVoir le document Diagnostics Guide pour plus d'informations.
Cette section présente le cycle de vie d'un cache contenant des données de classe partagée et contient également des exemples d'utilitaires de gestion de cache.
Pour activer le partage de données de classes, ajoutez -Xshareclasses[:name=<name>] à la ligne de commande de votre application.
La machine virtuelle se connecte alors à un cache existant du nom indiqué ou en crée un de ce nom. Si un nouveau cache est créé, il est rempli avec toutes les classes d'amorce et d'application chargées jusqu'à ce qu'il soit saturé. Si deux machines virtuelles ou plus sont démarrées en même temps, elles remplissent en parallèle le cache.
Pour vérifier que le cache a bien été créé, exécutez java -Xshareclasses:listAllCaches. Pour savoir combien de classes et quelle quantité de données sont partagées, exécutez java -Xshareclasses:[name=<name>],printStats. (Ces utilitaires peuvent être exécutés au terme de la machine virtuelle de l'application ou dans une autre fenêtre de commande.)
Pour plus de retour d'informations sur l'utilisation du cache lors de l'exécution de la machine virtuelle, utilisez la sous-option verbose. Par exemple, java -Xshareclasses:[name=<name>],verbose.
Pour voir les classes chargées depuis le cache ou stockées dedans, ajoutez -Xshareclasses:[name=<name>],verboseIO à la ligne de commande de votre application.
Pour supprimer le cache créé, exécutez java -Xshareclasses:[name=<name>],destroy. Vous devez uniquement supprimer des caches s'ils contiennent de nombreuses classes périmées ou s'ils sont pleins et que vous souhaitez en créer un plus important.
Il est recommandé de régler la taille du cache pour votre application spécifique car il est peu probable que la valeur par défaut corresponde à la taille optimale. La meilleure méthode de déterminer la taille de cache optimale consiste à indiquer un cache de grande taille (à l'aide de l'option -Xscmx), d'exécuter l'application puis d'utiliser printStats afin de déterminer le montant de données de classe ayant été stockées. Ajoutez une petite quantité à la valeur affichée dans printStats pour la contingence. Etant donné que des classes peuvent être chargées à tout moment lors du cycle de vie de la machine virtuelle, il est préférable d'effectuer cette analyse une fois l'application terminée. Toutefois, un cache saturé n'a aucune répercussion négative sur les performances ou la capacité des machines virtuelles qui y sont connectées. Il peut donc être légitime de définir une taille de cache plus petite que nécessaire.
Si un cache arrive à saturation, un message est émis sur la ligne de commande de toutes les machines virtuelles utilisant la sous-option verbose. Toutes les machines virtuelles partageant ce cache chargeront alors les classes supplémentaires dans leur propre mémoire de processus. Les classes d'un cache saturé peuvent toujours être partagées mais ce dernier est en lecture seule et ne peut plus être mis à jour avec de nouvelles classes.
Le partage de données de classes s'avère particulièrement utile sur des systèmes recourant à plusieurs machines virtuelles JVM qui exécutent un même code. Le système profite ainsi de la consommation réduite de mémoire virtuelle. Il est également bienvenu sur des systèmes démarrant et arrêtant souvent des machines virtuelles, profitant du meilleur temps de démarrage.
Le temps système pour créer et remplir un nouveau cache est minimal. Le temps de démarrage des machines virtuelles est généralement de 0 à 5 % supérieur à celui d'un système n'utilisant pas le partage de données de classes, en fonction du nombre de classes chargées. La réduction de ce temps avec un cache rempli oscille entre 10 et 40 % en comparaison avec un système n'utilisant pas le partage de données de classes, selon le système d'exploitation et le nombre de classes chargées. Plusieurs machines virtuelles exécutées de manière simultanée tirent un plus grand parti du temps de démarrage général.
Les classes en double sont consolidées dans le cache de classes partagées. Par exemple, une classe A chargée à partir de myClasses.jar et une classe A chargée à partir de myOtherClasses.jar (au contenu identique) sont stockées une seule fois dans le cache. L'utilitaire printAllStats affiche plusieurs entrées pour les classes en double, chaque entrée pointant vers la même classe.
Lorsque vous exécutez votre application avec le partage de données de classes, vous pouvez employer les outils du système d'exploitation pour constater la baisse de consommation de mémoire virtuelle.
Facteurs à prendre en compte lorsque vous déployez le partage de données de classes dans un produit et utilisez cette option dans un environnement de développement.
La taille de cache théorique maximale est 2 Go. La taille de mémoire cache que vous pouvez spécifier est limitée par l'espace disque disponible ainsi que l'espace d'adresse virtuelle disponible.
La taille du cache est limitée par les facteurs suivants :
Toute machine virtuelle utilisant un agent JVMTI (JVM Tool Interface) capable de modifier des données de code intermédiaire doit utiliser la sous-option modified=<modified_context> afin de partager les classes modifiées avec une autre machine virtuelle.
Le contexte modifié est un descripteur spécifique à l'utilisateur désignant le type de modification effectuée. Le contexte modifié partitionne le cache de sorte à ce que toutes les machines virtuelles exécutées avec le même contexte partagent une partition.
Ce partitionnement permet aux machines virtuelles n'utilisant pas des codes intermédiaires modifiés de partager un cache de manière sécurisée avec celles utilisant des codes intermédiaires modifiés. Toutes les machines virtuelles utilisant un contexte modifié doivent modifier le code intermédiaire de façon prévisible et réitérable ; ainsi, les classes modifiées stockées dans le cache intègrent les modifications attendues lorsqu'elles sont chargées par une autre machine virtuelle. Toute modification doit être prévisible car les classes chargées depuis le cache de classes partagées ne peuvent être à nouveau modifiées par l'agent.
Si un agent JVMTI est utilisé sans contexte de modification, les classes sont toujours partagées de manière sécurisée par la machine virtuelle, mais il y a une petite incidence sur la performance. L'utilisation d'un contexte de modification avec un agent JVMTI rend inutile des vérifications supplémentaires et donc, n'a aucune incidence sur la performance. Un chargeur de classes personnalisé qui étend java.net.URLClassLoader et modifie des codes intermédiaires lors du chargement sans utiliser JVMTI stocke les codes intermédiaires modifiés automatiquement dans le cache, mais celui-ci ne les traite pas comme des codes modifiés. Toute autre machine virtuelle partageant ce cache charge les classes modifiées. La sous-option modified=<contexte_modification> peut être utilisée de la même manière qu'avec les agents JVMTI pour partitionner les codes intermédiaires modifiés dans le cache. Si un chargeur de classes personnalisé doit procéder à des modifications de classes imprévues lors du chargement, ce chargeur de classes ne doit pas utiliser le partage de données de classes.
Voir le document Diagnostics Guide pour en savoir plus à ce sujet.
Vous ne pouvez pas partager de classes entre des machines virtuelles 32 et 64 bits. Un espace disque temporaire doit être disponible pour conserver les informations du cache. Les droits d'accès au cache sont appliqués par le système d'exploitation.
Pour les systèmes d'exploitation pouvant exécuter à la fois des applications de 32 et 64 bits, le partage de données de classe n'est pas autorisé entre des machines virtuelles 32 et 64 bits. La sous-option listAllCaches répertorie les caches de 32 et 64 bits, en fonction du mode d'adressage de la machine virtuelle utilisée.
Le cache de classes partagées requiert de l'espace disque pour stocker des informations d'identification sur les caches figurant sur le système. Ces informations se trouvent dans le répertoire du profil utilisateur. Si le répertoire contenant les informations d'identification est supprimé, la machine virtuelle ne peut identifier les classes partagées sur le système et doit créer le cache à nouveau.
Les droits permettant d'accéder à un cache de classe partagée sont appliqués par le système d'exploitation. Si aucun nom de cache n'est précisé, le nom d'utilisateur est ajouté au nom par défaut afin que plusieurs utilisateurs sur le même système créent leurs propres caches par défaut.
Si un gestionnaire SecurityManager est utilisé avec le partage de données de classes et que l'application en cours utilise ses propres chargeurs de classes, ces derniers doivent dispenser d'autorisations de classes partagés pour pouvoir partager des classes.
Vous ajoutez des autorisations de classes partagées au fichier java.policy en indiquant le nom de classe ClassLoader (les caractères génériques sont admis) et «read», «write» ou «read,write» pour déterminer l'accès accordé. Par exemple :
permission com.ibm.oti.shared.SharedClassPermission "com.abc.customclassloaders.*", "read,write";
Si ClassLoader ne dispose pas des autorisations correctes, il ne peut partager les classes. Vous ne pouvez pas modifier les autorisations des chargeurs de classes d'extension, d'application ou d'amorçage par défaut.
Les chargeurs de classes qui étendent java.net.URLClassLoader peuvent partager des classes sans être modifiés. Les chargeurs de classes n'étendant pas java.net.URLClassLoader doivent être adaptés afin de partager les données de classes.
Le droit SharedClassPermissions doit être accordé à tous les chargeurs de classes personnalisés si un gestionnaire de sécurité est utilisé, voir Utilisation de SharedClassPermission. IBM fournit plusieurs interfaces Java pour différents types de chargeurs de classes personnalisés, permettant ainsi à ces derniers de rechercher et stocker des classes dans leur cache de classes partagées. Ces classes se trouvent dans le package com.ibm.oti.shared.
La documentation Java de ce package est fournie avec le SDK dans le répertoire docs/content/apidoc.
Voir le document Diagnostics Guide pour en savoir plus sur le mode d'utilisation de ces interfaces.
Le package de l'API Java Communications (JavaComm) est fourni en option et doit être utilisé avec Runtime Environment for Windows. JavaComm doit être installé indépendamment du SDK ou de l'environnement d'exécution.
L'API JavaComm API permet aux applications Java sur toute plateforme d'effectuer des communications de port série et parallèles pour les technologies telles que la messagerie vocale, la télécopie et les cartes à puce.
L'API Java Communications prend en charge les ports série Electronic Industries Association (EIA)-232 (RS232) et les ports parallèles Institute of Electrical and Electronics Engineers (IEEE) 1284. Elle fonctionne sur les systèmes utilisant IBM Version 6 Runtime Environment.
L'API Java Communications vous permet d'effectuer les opérations suivantes :
Assurez-vous que le SDK ou l'environnement d'exécution est installé avant de procéder à l'installation de l'API Java Communications.
Pour installer l'API Java Communications à partir d'un fichier compressé, procédez comme suit :
Afin d'utiliser l'API Java Communications, vous devez modifier le mode d'accès des ports série et parallèle et définir le PATH si vous ne l'avait pas déjà fait lors de l'installation de Java.
Voir Définition du PATH.
Le fichier javax.comm.properties vous permet de définir les préfixes des périphériques rendus disponibles pour l'API Java Communications et d'indiquer s'ils sont parallèles ou série. Les numéros de port sont attribués de manière séquentielle à tous les périphériques.
Par exemple, si vous définissez /dev/ttyS=PORT_SERIAL alors que les périphériques /dev/ttyS0 et /dev/ttyS1 existent, les ports COM1 et COM2 leur seront attribués.
Pour utiliser les connecteurs USB-série, supprimez la mise en commentaire de la ligne/dev/ttyUSB=PORT_SERIAL dans le fichier javax.comm.properties. Si les périphériques /dev/ttyUSB0 et /dev/ttyUSB1 existent alors que COM1 et COM2 ont déjà été définis, les ports suivants, COM3 et COM4, sont attribués aux périphériques USB-série.
Lors de l'impression avec l'API Java Communications, il se peut que vous deviez appuyer sur le bouton équivalent à «alimentation papier» ou «Continuer» sur l'imprimante.
Pour désinstaller l'API Java Communications, supprimez les fichiers suivants du répertoire dans lequel vous avez installé l'environnement d'exécution :
Par défaut, l'environnement d'exécution est installé dans le répertoire C:\Program Files\IBM\Java60\.
Vous trouverez de la documentation et des exemples de l'API Java Communications sur le site Web de Sun.
http://java.sun.com/products/javacomm/.
Points de service :
Si vous avez droit à des services pour le code de programme appartenant à IBM Solutions Developer Program, contactez l'équipe de ce dernier en accédant au site Web à l'adresse :http://www.ibm.com/partnerworld/.
Si vous avez établi un contrat de service (tel qu'IBM Personal Systems Support Line ou équivalent selon le pays), les termes et conditions déterminent les services, le cas échéant, que vous avez le droit de recevoir par rapport au programme.
Les guides d'utilisation fournis avec ce SDK et Runtime Environment ont été testés à l'aide de lecteurs d'écran.
Pour modifier la taille des polices des guides d'utilisation, utilisez la fonction fournie par votre navigateur, habituellement située dans le menu Affichage.
Pour les utilisateurs nécessitant une navigation par clavier, une description des touches utiles pour les applications Swing est disponible dans la section Swing Key Bindings sur le site http://www.ibm.com/developerworks/java/jdk/additional/.
Si vous parcourez la liste déroulante d'un composant JComboBox avec les touches fléchées, le bouton ou la zone modifiable du composant JComboBox ne change pas de valeur tant qu'un élément n'est pas sélectionné. Il s'agit du comportement correct de cette version. Il améliore l'accessibilité et augmente la facilité d'utilisation en garantissant que le comportement de passage par clavier soit identique à celui du passage par souris.
A partir de la version 5.0, Java Web Start comporte plusieurs améliorations de l'accessibilité et de la facilité d'utilisation, qui incluent notamment une meilleure prise en charge des lecteurs d'écran et une navigation par clavier améliorée.
La ligne de commande peut uniquement être utilisée pour lancer une application Java activée pour Web Start. Pour modifier les options des préférences, vous devez éditer le fichier de configuration Application Data\IBM\Java\Deployment\deployment.properties situé dans le répertoire initial de l'utilisateur. Pensez à effectuer une sauvegarde avant de modifier ce fichier. Toutes les préférences pouvant être définies dans l'afficheur de cache de l'application Java ne sont pas disponibles dans le fichier de configuration.
Vous pouvez obtenir des fichiers de règles de compétence illimitée JCE à l'adresse http://www.ibm.com/developerworks/java/jdk/security/index.html. La documentation sur les packages de sécurité IBM JCE, JCEFIPS, JSSE2, JSSEFIPS, JGSS, JAAS et la cryptographie du matériel est également disponible sur ce site Web.
Si vous avez des commentaires sur ce guide d'utilisation, contactez-nous via l'une des voies suivantes. Vous pouvez nous envoyer vos questions "non techniques" ou tout commentaire relatif à notre documentation.
Veuillez nous envoyer vos commentaires :
Mention en petits caractères. Tout commentaire ou document envoyé à IBM tels que les questions, les commentaires, les suggestions ou ce qui est relatif au contenu de tels documents, sera considéré comme non confidentiel. IBM n'est assujettie à aucune sorte d'obligation relative à de telles informations et a le droit de reproduire, utiliser, divulguer, transformer ou créer des produits dérivés sans restriction. En outre, IBM a le droit d'utiliser les idées, concepts, savoir-faire ou techniques contenus dans de tels documents dans un but quelconque, y compris le développement, la fabrication et la commercialisation des produits.
Les options -X ci-après ne sont pas standard et peuvent être modifiées sans préavis.
Pour les options employant le paramètre <taille>, ajoutez "k" ou "K" au nombre pour indiquer qu'il s'agit de kilo-octets, "m" ou "M" de mégaoctets ou bien "g" ou "G" de gigaoctets.
En ce qu'il s'agit des options employant le paramètre <percentage>, vous devez utiliser un nombre compris entre 0 et 1. Par exemple, 50 % correspond à 0,5.
Force l'écriture de la sortie de récupération de place en mode prolixe dans le fichier spécifié. Si ce fichier existe, la sortie remplace son contenu. Si ce fichier existe mais qu'il ne peut pas être ouvert ou s'il est impossible de créer un nouveau fichier, la sortie est redirigée sur l'erreur standard. Si vous définissez les arguments entiers X et Y, la sortie de la récupération de place en mode prolixe est redirigée vers un nombre X de fichiers, chaque fichier contenant un nombre Y de cycles gc pouvant générer une sortie verbose. Ces fichiers sont nommés nomfichier1, nomfichier2, etc. Par défaut, aucune consignation de la récupération de place en mode prolixe n'a lieu.
Voir le document Diagnostics Guide pour en savoir plus sur la sortie de la récupération de place en mode prolixe.
Restrictions d'utilisation de SDK et Runtime Environment pour Windows.
Pour plus d'informations sur la procédure de diagnostic, reportez-vous au document Diagnostics Guide à l'adresse http://www.ibm.com/developerworks/java/jdk/diagnosis/60.html.
IBM 32-bit SDK pour Windows, v6 prend en charge les paramètres nationaux suivants :
Les polices associées peuvent cependant ne pas fonctionner sur les composants AWT.
IBM 32-bit SDK pour Windows, v6 prend en charge IPv6. Cependant, la prise en charge actuelle d'IPv6 dans Windows n'étant pas à double pile, le SDK émule le comportement de double pile sur le système compatible IPv6. Votre application Java peut utiliser jusqu'à deux fois le nombre de connecteurs en raison de la nature de l'émulation. Pour désactiver cette émulation, désactivez la prise en charge IPv6 dans le SDK en attribuant la valeur true à la propriété système java.net.preferIPv4Stack.
Dans l'outil JConsole d'IBM, l'onglet Local qui permet de se connecter à d'autres machines virtuelles sur le même système n'est pas disponible. De plus, l'option pid de la ligne de commande correspondante n'est pas prise en charge. A la place, utilisez l'onglet Remote dans JConsole pour vous connecter à la machine virtuelle à contrôler. Vous pouvez également utiliser l'option de ligne de commande connection, en indiquant un numéro de port et un hôte localhost. Lorsque vous lancez l'application à contrôler, définissez les options de ligne de commande :
Le moteur Mozilla Rhino Javascript n'est pas inclus dans IBM SDK pour Java en raison des problèmes liés aux licences. Pour utiliser le moteur Rhino Javascript avec IBM SDK for Java, téléchargez le moteur de script jsr223 depuis https://scripting.dev.java.net/ et le moteur Rhino Javascript depuis le site Web Mozilla : http://www.mozilla.org/rhino/.
Lorsque vous utilisez un IME (Input Method Editor), il est conseillé de terminer la composition des caractères et de sélectionner le candidat avant d'utiliser l'espace de travail pour toute autre opération.
Lorsqu'un utilisateur saisit du texte dans une zone de texte AWT à l'aide d'un éditeur IME et qu'il redimensionne la fenêtre de l'application avant de valider le texte, ce dernier est validé automatiquement.
La création de paires de clés DSA de longueurs inhabituelles peut prendre longtemps sur des machines lentes. L'attente ne doit pas être interprétée comme un blocage ; si vous patientez, vous verrez que le processus aboutit. L'algorithme de génération de clés DSA a été optimisé pour obtenir des longueurs standard (par exemple, 512, 1024) plus rapidement que d'autres.
Les pare-feu peuvent poser problème pour le code NIO Windows, notamment provoquer l'échec de certaines opérations. Par exemple, l'appel de la méthodeSelector.open() peut émettre l'exception «java.io.IOException: Unable to establish loopback connection» avec la cause «java.net.ConnectException: Connection refused: connect». Cette exception est due à la connexion du système d'exploitation à un port bloqué par le pare-feu. La machine JVM tente une nouvelle fois l'opération de connexion en demandant au système d'exploitation de choisir un numéro de port différent. Si après plusieurs tentatives la connexion n'est toujours pas possible, une exception de connexion est émise.
Dans ce cas, vous pouvez définir la propriété système java.nio.debug=pipe pour déterminer les numéros de port bloqués.
Sous Windows 2000 et XP, la valeur par défaut du nombre de fichiers pouvant être simultanément ouverts étant trop basse, et les applications dont l'activité d'entrée-sortie est intensive connaîtront des difficultés. Pour résoudre cette limitation, modifiez le fichier <windows>\system32\CONFIG.NT et définissez les valeurs suivantes :
files=200 buffers=60
où <windows> correspond au répertoire d'installation de Windows.
Sous Windows 2000, avec une profondeur de couleur de 32 bits, le mécanisme DirectDraw de la machine virtuelle ne repeint pas la zone sous le pointeur. Des carrés gris ou noirs apparaissent donc sur les menus que le pointeur de la souris a passés. La solution consiste à désactiver le tracé direct (-Dsun.java2d.noddraw) ou à changer de résolution d'écran (par exemple 256 couleurs).
L'appel NIO SocketChannel finishConnect() peut renvoyer la valeur true (le canal est connecté) ou false (le processus de connexion n'a pas encore abouti), ou bien lancer une exception. Sous Windows 2000, lorsque vous utilisez des connexions non bloquantes, la valeur false peut être renvoyée même si un appel select() Java a auparavant impliqué qu'un canal est prêt pour traitement.
Vous ne pouvez pas modifier l'intervalle de pile de l'unité d'exécution principale (primordiale) Java lors de l'exécution. Le thread principal possède une taille fixe de 256 kilobits, la valeur optimale pour des raisons de performances. Vous pouvez utiliser l'option -Xss pour modifier l'intervalle de pile uniquement sur des threads autres que le principal. N'utilisez pas l'unité d'exécution principale pour des calculs hautement récursifs car cette dernière est plus enclin que les autres au dépassement de pile.
Si vous entrez des caractères DBCS dans un JTextArea, JTextField ou JFileChooser, en passant d'un IME chinois (en particulier de Chinese Internal Code et de Zhengma) à un IME Intelligent ABC, vous risquez de provoquer un vidage mémoire.
Pour les utilisateurs tchèques, le panneau de sélection de la langue du programme InstallShield comporte une entrée traduite, alors que l'installation n'est pas localisée. Cette limitation provient du programme InstallShield. La chaîne est extraite du système d'exploitation en fonction de la page de codes. Comme le polonais (dont l'installation est traduite) et le tchèque ont la page de code 1250, InstallShield tente de récupérer une liste de langues du système pour les deux, d'où la présence de cette chaîne.
Les utilisateurs travaillant en chinois traditionnel ne doivent pas diriger la sortie de l'application Java directement dans la commande more. Ils doivent à la place diriger la sortie vers un fichier temporaire et l'afficher à part.
Les utilisateurs catalans doivent employer la police Lucida Console afin d'éviter la corruption des lettres capitales accentuées. Concerne uniquement les utilisateurs de Windows 2000.
Environnements DBCS uniquement
Si votre application échoue en raison d'une exception NullPointerException avec GTK Look and Feel, désactivez la variable d'environnement GNOME_DESKTOP_SESSION_ID.
Utilisateurs japonais uniquement
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